Ce jeudi 25 janvier, les 200 enseignants et agents actifs comme « référents harcèlement » dans les 14 écoles secondaires provinciales étaient réunis pour une matinée d’échanges et de formation. En effet, depuis 2019, la Province de Liège a créé une cellule PESH (Pour une Ecole Sans Harcèlement), chargée de mettre en place une équipe de « référents harcèlement », composée d’acteurs de terrain, dans chaque établissement d’’enseignement provincial.
Ces référents sont des membres du Centre PMS, de la Direction, des enseignants, des éducateurs et des membres du personnel technique et administratif. Cette diversité de profils permet de repérer des situations avérées ou potentielles de harcèlement dans les divers moments de la vie d’un élève, lors des déplacements scolaires par exemple.
La philosophie qui sous-tend l’action des référents se base sur trois principes :
J’observe.
Je dis stop !
Je transmets, je relaie l’information à un référent.
“Ce dispositif permet à l’école d’agir rapidement et efficacement, en synergie avec les équipes des CPMS, lorsqu’une situation de harcèlement est portée à sa connaissance. P.E.S.H. accompagne l’établissement scolaire pour permettre l’apaisement et le retour à un cadre de vie serein pour les élèves confrontés à cette souffrance“, complètent les services de Muriel Brodure-Willain, députée provinciale de l’Enseignement.
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