L’artiste liégois, qui avait entamé une grève de la faim le 21 janvier a annoncé hier avoir suspendu son action. Son désir était de sauver la dentisterie de Liège, vouée à la destruction suite à un arrêté annonçant sa démolition. Il avait fait circuler une pétition auprès des habitants afin de tenter de la préserver.

Quelques dizaines de personnes s’étaient d’ailleurs rassemblées lundi soir devant la Violette avant le conseil communal afin de mettre un moratoire sur l’arrêté de démolition du bâtiment pris par le bourgmestre, la cession du lieu pour un euro symbolique et d’y envisager la création d’un centre d’art contemporain.

Un combat vain : malgré plus de 2000 signataires, selon Le Soir et la DH, et plusieurs interpellations des conseillers de l’opposition (PTB, Vega) le bourgmestre a confirmé l’arrêté « dans l’intérêt de la sécurité publique », a-t-il ajouté. De son côté, le groupe Ecolo regrette qu’il n’y ait pas eu de véritable débat public à ce propos.

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