Lors de la visite du chantier de la piscine Jonfosse organisé par la Ville le 25 septembre, les journalistes présents sur place avaient eu l’attention attirée par la présence de nombreux ouvriers étrangers. Voulant vérifier qu’il n’y avait pas de sous-traitants illégalement employés, un journaliste de La Meuse s’est penché sur le sujet…. même s’il eut été très surprenant que l’association momentanée BPC-Moury ait pris un tel risque en présence de la presse et d’autorités communales.
De son enquête, il ressort que les Portuguais, dont le pays s’est redressé économiquement, engagent maintenant de la main d’oeuvre dans leurs anciennes colonies (Angola, Brésil, Mozambique…). Et même s’ils ne sont pas européens, leurs employeurs leur délivrent un peu trop facilement des cartes provisoires de résident portugais qui leur donnent le droit de travailler sur notre territoire. Du dumping social, en règle.
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