Suite à la découverte d’amiante Des mesures de précaution sont prises à court terme par l’intercommunale d’incendie (IILE). 75% des murs et enduits de plâtre testés dans la caserne contiennent en effet des fibres d’amiante, utilisées dans les années 1970 comme adjuvants aux enduits de finition pour en faciliter le lissage. Il s’agit essentiellement des voies de circulation, des bureaux et des couloirs. Les garages, la plupart des locaux techniques et les ateliers ne sont pas concernés.
Dans les jours qui viennent, différentes sociétés spécialisées en désamiantage et agréées par le SPF emploi vont effectuer des opérations de nettoyage et de réparation des enduits muraux altérés, ceci par mesure de précaution, afin de garantir la sécurité du personnel dont la présence à la caserne est indispensable. Un nombre limité de locaux de la caserne ont également été interdits d’accès.
“Après de actions à courte terme de réorganisation du travail, des mesures liées à la restructuration en profondeur des installations vont être discutées et l’éventualité d’un déménagement de la caserne sera également à l’ordre du jour” ajoute la communiqué des pompiers. Comme cela était évoqué d 2020 dans le plan stratégique annuel de l’Intercommunale d’Incendie de Liège et Environs (IILE), il pourrait s’agir du renforcement de postes avancés en périphérie de Liège et plus forcément d’une caserne centrale en “navire amiral”. Les 7 postes avancés actuels sont: Ans, Flémalle, Grâce-Hollogne, Grivegnée, Oupeye et le Sart-Tilman.
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