Fin mai, l’ex-président de Liège Airport, ex-ministre régional (PS) et ancien président du Parlement wallon, était condamné à 8 mois de prison avec sursis pour des faits de corruption et de trafic d’influence. On lui reprochait d’avoir notamment favorisé des entrepreneurs dans le cadre de la construction à un prix très avantageux de la maison de sa maîtresse à Esneux. Mais aussi d’autres projets immobiliers.

Il a fait appel du jugement et 12 après le début de l’enquête, la cour a constaté que l’action publique était prescrite. Les interruptions de prescription pendant les homologations des transactions financières conclues avec sept autres personnes impliquées dans ce dossier, ont finalement été prises en compte dans le calcul du délai. José Happart en a donc fini avec la justice concernant cette affaire.


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