Un coup c’est oui, un coup c’est non. Fin janvier, il était question que les sites de Flémalle et Tilleur de Liberty Steel puissent redémarrer, grâce à un financement de 10 millions d’euros du groupe. Les 600 emplois menacés devraient donc être maintenus et les syndicats espéraient que les installations puissent à nouveau être en activité à la la mi-février (le packaging à Sclessin). 15% des travailleurs liégeois devaient néanmoins perdre leur emploi.
Mais aujourd’hui, face au fait que le groupe Liberty Steel ne respecte pas ses engagements financiers, le procureur du roi a lancé officiellement une procédure de révocation du plan de réorganisation judiciaire de ses activités à Liège. Cela signifie donc une faillite potentielle même si l’on attend l’audience du 16 mars devant le tribunal de l’entreprise de Liège où Liberty Steel pourra se défendre.
La possibilité d’un rachat est également évoquée.
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