Le 13 décembre 2011 armé de grenades et d’un fusil d’assaut Nordine Amrani tuait 6 personnes avant de se donner la mort. L’homme se trouvait alors en liberté conditionnelle, ayant été condamné en 2008 par le tribunal de Liège à 58 mois de prison ferme pour la détention de plusieurs milliers de pièces d’armes et d’une dizaine d’armes complètes ainsi que pour de la culture de cannabis à grande échelle.

Six ans après la fusillade de la Place St-Lambert, les familles des victimes de Nordine Amrani citent l’Etat à comparaître. Elles veulent savoir si ce drame aurait pu être évité.

La date du procès a été fixé au 25 septembre 2018. Il aura pour but de déterminer si, oui ou non, l’Etat a une part de responsabilité dans ce drame. Mais au-delà du cadre purement juridique, les familles veulent aussi une évolution de la législation afin d’assurer un meilleur suivi des libérations conditionnelles.

(.Source: Rtc)


Suivant : Succès d’un spectacle à la Caserne sur le parcours de jeunes Italiens venus en Belgique
Précédent : Météo: temps toujours frais et humide

► Une erreur ou une proposition d'article, contactez-nous.

×