Le groupe Horizon, promoteur immobilier de l’investisseur Laurent Minguet, avait racheté une série de petites maisons ouvrières et de surfaces non-occupées rue Paradis en vue d’y construire un nouvel ensemble d’immeubles. Si ce projet et l’octroi du permis font l’objet d’un bras de fer entre le promoteur et la Ville (singulièrement son échevine de l’Urbanisme), le premier vient d’obtenir (rapporte La Meuse) l’autorisation de démolir les 16 petites maisons délabrées suite à son recours auprès de la Région wallonne.
La Ville lui interdisait en effet de les démolir.
Une fois le terrain dégagé – si la Ville n’introduit pas un recours au Conseil d’Etat- une nouvelle demande de permis pour construire un bloc d’appartement avec des commerces et du parking en sous-sol va être introduite. En espérant que le projet finisse par agréer la Ville, afin de ne pas pérenniser un terrain vague devant le Paradis Express et la passerelle sur la Meuse. La Ville a récemment introduit un recours en annulation et en suspension… devant le Conseil d’Etat… pour le parking de 250 places jugé trop important.
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