Dans le contexte de dialogue avec les étudiants pro-palestiniens, l’université estime avoir montré qu’elle n’avait aucun partenariat bilatéral avec des universités israéliennes et s’est engagée à n’en conclure aucun, tant que des violations manifestes du droit international et/ou humanitaire seront constatées. Elle a aussi confirmé son engagement à suspendre toute coopération directe avec des partenaires qui contribueraient directement aux actes de guerre d’Israël contre la population gazaouie, ou qui soutiendraient ouvertement l’action militaire du gouvernement Netanyahou, ou encore qui ne respecteraient pas les droits humains protégés par le droit international .

Après 6 semaines d’occupation d’une partie du bâtiment de la place du 20-Août, la rectrice Anne-Sophie Nyssen ne voit plus de justification au campement et suggère dans un texte que les étudiants concernés engagent leur mouvement dans de nouvelles directions. Cela, après avoir toléré l’occupation du bâtiment central “bien qu’elle ne corresponde pas aux modalités de libre expression et de débat dont l’université doit rester garante. (…) D’importants moyens humains y compris provenant du mouvement lui-même ont été mobilisés pour assurer le respect de la convention d’occupation et la sécurité des lieux ; d’autres encore devront l’être pour réparer les dégradations et les infractions constatées.

Et d’indiquer que, le travail n’étant pas terminé, elle s’engage à le poursuivre.

Des étudiants propalestiniens #occupent une partie des locaux de l’université au 20-Août


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