Les limitations à 50 km/h voire 30 km/h sont nombreuses dans les rues de Liège. Mais il y a en réalité peu de systèmes de contrôle répressifs pour les faire appliquer. Le nouveau chef de la zone de police, Jean-Marc Demelenne, a donc prévu l’achat de 12 poteaux et de six nouveaux radars NK7 afin de les installer dans les rues qui posent le plus problème. Des appareils qui n’ont pas de flash lumineux et qui donc permettent de verbaliser les automobilistes en infraction sans qu’ils s’en rendent compte. Il s’agit d’un changement de politique (annoncé dans la Meuse) puisque, jusqu’à présent, même pour le Lidar qui permet l’activation ou pas, le signalement lumineux avait été conservé par choix.
Les rayons infrarouges des nouveaux radars, capables de contrôler 6 bandes simultanément et dans les deux sens, seront donc invisibles de jour comme de nuit et facilement interchangeables. Ils seront aussi capables de contrôler la vitesse des automobilistes sur six bandes et dans les deux sens de circulation.
En attendant que le marché ne soir finalisé, le commissaire envisage également d’emprunter un Lidar supplémentaire, celui de la Région wallonne, qui le prête gratuitement aux communes 7 semaines par an.
Les emplacements potentiels sont la rue de Campine, les quais de Rome et des Ardennes, le boulevard de Douai ou Hector Denis…
(Photo: le radar “triple” du quai de la Boverie et du pont de Huy)
Suivant : Un employé détourne plus de 10 millions d’euros à la FN Herstal: le fonctionnement global de l’entreprise va être analysé
Précédent : L’ex-Carrefour Blonden, récemment devenu Intermarché, est fermé en raison d’une grève: les autres ont suivi
► Une erreur ou une proposition d'article, contactez-nous.