L’ONG affirme avoir procédé à des relevés et à des mesures du dioxyde d’azote à Bruxelles, Gand, Anvers, Louvain, Liège, Namur et Mons : “il apparaît clairement que le problème de la qualité de l’air est bien plus important que ne le prétendent les chiffres officiels”, estime l’association qui invite d’ailleurs les citoyens à jeter un oeil sur les données. À l’approche des élections communales, Greenpeace pense que les futurs responsables politiques doivent prendre cette problématique au sérieux et envisager des alternatives.
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