La production est à l’arrêt sur trois sites du brasseur AB InBev, à Louvain, Hoegaarden et Liège, indiquait hier la CSC. L’on ne sait pas encore si le mouvement se poursuit aujourd’hui. Cela dépendait des négociations.

L’origine du mouvement est la rupture des négociations sur les conditions de travail et salariales. Selon le syndicat, AB InBev “peut rapporter des millions d’euros à la direction et aux actionnaires”, mais ne veut pas partager les profits avec les ouvriers et les employés. “Alors que ce sont eux qui font tourner les usines chaque jour”, poursuit le représentant syndical. “Nous voulons une partie du gâteau. Cela nous semble parfaitement normal.” Et de demander notamment que la prime pouvoir d’achat, rendue possible par le gouvernement fédéral, soit concrétisée. “Nous exigeons une prime pouvoir d’achat maximale pour tous, soit 750 euros“, complète la FGTB


Suivant : Démolir la vie d’une conseillère communale gardienne de prison à Lantin: mode d’emploi
Précédent : Radar installé boulevard de Froidmont

► Une erreur ou une proposition d'article, contactez-nous.

×