Les raisons de ce mouvement, qui a mis à l’arrêt 109 lignes de bus sont en lien direct avec une agression, la semaine passée, sur la ligne 67. Cinq personnes en défaut de de titre de transport ont refusé de se mettre en ordre et frappé violemment la cabine du conducteur… qui a éclaté.
Autre fait, déclencheur: jeudi soir, c’est un conducteur mal stationné qui a ensuite effectué des manœuvres périlleuses pour ne pas laisser passer le bus.

Au total, pas moins de 40 agressions ont été constatées depuis septembre 2024. Les chauffeurs réclament plus de sécurité.

La grève, entamée sans préavis ce jeudi, se poursuivra au moins ce vendredi matin. Une assemblée est prévue à 9h, suite à la réunion d’hier où les mesures proposées par la direction (plus de contrôleurs aux endroits problématiques) ont été jugées insuffisantes par le personnel, qui souhaite aussi une collaboration avec la police.

(Photo: le dépôt de Rocourt)


Suivant : Une journée de balades contées dans l’expo Paul Delvaux à la Boverie
Précédent : Météo: températures plus douces et pluies l’après-midi

► Une erreur ou une proposition d'article, contactez-nous.

×