Deux événement internationaux de grande envergure ont eu lieu à Liège mettant en avant les talents de la danse le temps d’un week-end… sur la pointe des pieds.
Ainsi vendredi et dimanche, c’était en effet des pointures internationales qui se produisaient sur la scène du Manège de la Caserne Fonck, là où Marie Doutrepont a pris l’habitude de les mettre en lumière.
On pouvait y découvrir des extraits du ballet classique tels que le Lac des Cygnes ou du répertoire contemporain interprétés par des danseurs internationaux freelance ou issus de grandes compagnies (Opéra de Paris, Ballet de la ville de Berlin ou encore de Munich).
Cette année, la Belgique était représentée avec la présence du danseur Tom Docquir, sujet à l’opéra de Paris. Les Hivernales de la Danse ont également vu le retour de la liégeoise Violette Wathelet, tout juste âgée de 18 ans et ancienne élève de Marie Doutrepont, présentant sa chorégraphie “L’eau et le rêve” interprétée par Marius Bado Rock, tous deux élèves de l’École royale du ballet d’Anvers.
Même thématique, autre ambiance ce samedi avec la deuxième édition du Prix des Hivernales, toujours sous la houlette de Marie Doutrepont. Un prix international presque tout neuf mais où le haut niveau d’exigence n’est déjà plus à démontrer et qui accueillait des danseurs de 10 à 19 ans venus des 3 régions du pays mais aussi de France, Pologne ou encore Portugal.
Le grand prix de la Province de Liège est attribué en contemporain à Carola Minardo et Tom Bellec pour leur duo « Forget me not » issus du PSND Rosella Hightower de Cannes et en classique à Noémie Vergnion, élève à l’école Dance ‘s Passion de Pont-à-Celles.
Parmi les finalistes, la jeune Olivia Savin (11 ans) concourrait en Contemporain, catégorie Corps de ballet avec 9 autres jeunes âgés de 10 à 14 ans. Elle dansait une chorégraphie inventée par elle et interprétée sur Voilà de Barbara Pravi “parlez leur de cette fille aux yeux noirs et de son rêve fou”. Olivia a remporté le premier prix.
Tous les finalistes ont présenté des performances étonnantes, témoignant des aptitudes de la nouvelle génération de danseurs. On ne peut qu’être ébahi devant autant de talent!
Suivant : Mittal intéressé par le rachat de Liberty Steel
Précédent : Un voyage passionnant, entre images de la science et science de l’image lors du festival Imagésanté
► Une erreur ou une proposition d'article, contactez-nous.